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[Le Plus Santé] Déodorants et cancer du sein : Les liaisons dangereuses

Actuellement, les déodorants disponibles sur le marché contiennent moins de 10,6 % de sels d’aluminium pour les sprays et 6,25 % pour les autres gammes de déodorants. Ces concentrations ne représentent pas des apports significativement supérieurs en aluminium si l’on compare avec les apports   d’autres sources, notamment l’alimentation.
Du reste, l’aluminium est un élément métallique largement présent dans l’environnement et dans de nombreux aliments et produits tels que les produits cosmétiques et d’hygiène. 
Les sels d’aluminium sont ajoutés à la formulation de certains déodorants. Cette matière  sert à réduire le diamètre des pores de la peau et à  limiter par ricochet  la sécrétion de la sueur. Les effets de l’aluminium sur la santé sont clairement démontrés, mais uniquement lorsqu’il est inhalé ou ingéré. L’organisme ne parvient pas à éliminer des grandes quantités de sels et finit par les stocker dans les tissus et les organes. 
Une alternative, les déodorants sans sels d’aluminium
Ce stockage pourrait avoir des conséquences néfastes sur le fonctionnement des reins, du foie, des poumons ou encore du cerveau. Mais  jusqu’ici, il n’a pas été démontré le risque de cancer et une exposition cutanée à l’aluminium.  Dans le cas du cancer du sein, la polémique est née de deux constats parallèles : Les déodorants sont appliqués à seulement à quelques centimètres des seins, l’incidence du cancer du sein est en augmentation dans les pays occidentaux, et touche des femmes de plus en plus jeunes. Après de multiples revirements, les dernières études démontrent que les sels d’aluminium appliqués sur la peau ne pénètrent pas dans l’organisme et que leur concentration dans les déodorants est trop faible pour déclencher une  tumeur maligne. Malgré ces conclusions, il est probable que le sujet continue de susciter les débats dans les prochaines années. D’ici là, les femmes ont une alternative, utiliser les déodorants sans sels d’aluminium. Ces gammes présentent l’avantage de limiter l’inflammation cutanée locale et laissent se dérouler naturellement le processus de transpiration.

Rien n’est pas encore clair. Mais des soupçons pèsent de plus en plus sur la corrélation entre l’exposition aux déodorants contenant des sels d’aluminium et l’augmentation du cancer du sein. Pourtant en 2011, l’Agence nationale pour la sécurité sanitaire, de l’environnement et du travail (Anes) avait rassuré que l’exposition cutanée à des sels d’aluminium ne comporte pas de risques de cancer du sein, selon les données scientifiques disponibles. Cette conclusion a été confirmée par l’Union Européenne en 2020. Malgré tout, des soupçons persistent.  Les écologistes ont toujours alerté sur la pollution de l’air due aux parfums. Ces craintes sont aussi valables pour certains déodorants sur la santé humaine. L’hypothèse que l’utilisation des déodorants expose aux cancers n’est pas écartée. Le sujet fait encore débat. Existe-t-il un lien entre l’utilisation de déodorants contenant des sels d’aluminium et le risque de survenue du cancer du sein ? A plusieurs reprises, les experts ont répondu « non » à cette question jusqu’ici. Ils se fondent sur la base des données disponibles dans une revue scientifique.
Déodorants, sels d’aluminium et cancer du sein
Des sels d’aluminium entrent dans la fabrication des dentifrices, des rouges à lèvres, ou encore des déodorants. Ces derniers produits sont de plus en plus soupçonnés dans la survenue du cancer du sein. Leur application sous les aisselles favoriserait le développement de cette maladie. Mais existe-t-il vraiment un lien entre ces sels d’aluminium et le risque de cancer du sein ?
Dès 2011, saisie de cette question, l’ANSES conclut que l’exposition cutanée à des sels d’aluminium ne peut pas être associée à une augmentation du risque de cancer du sein, selon les données scientifiques disponibles. Le comité scientifique pour la sécurité des consommateurs de l’Union Européenne  confirme  cette conclusion en mars 2020. Ce dernier considère qu’à l’état actuel des connaissances, l’utilisation, même quotidienne, des déodorants contenant des sels d’aluminium est sûre.

Actuellement, les déodorants disponibles sur le marché contiennent moins de 10,6 % de sels d’aluminium pour les sprays et 6,25 % pour les autres gammes de déodorants. Ces concentrations ne représentent pas des apports significativement supérieurs en aluminium si l’on compare avec les apports   d’autres sources, notamment l’alimentation.
Du reste, l’aluminium est un élément métallique largement présent dans l’environnement et dans de nombreux aliments et produits tels que les produits cosmétiques et d’hygiène. 
Les sels d’aluminium sont ajoutés à la formulation de certains déodorants. Cette matière  sert à réduire le diamètre des pores de la peau et à  limiter par ricochet  la sécrétion de la sueur. Les effets de l’aluminium sur la santé sont clairement démontrés, mais uniquement lorsqu’il est inhalé ou ingéré. L’organisme ne parvient pas à éliminer des grandes quantités de sels et finit par les stocker dans les tissus et les organes. 
Une alternative, les déodorants sans sels d’aluminium
Ce stockage pourrait avoir des conséquences néfastes sur le fonctionnement des reins, du foie, des poumons ou encore du cerveau. Mais  jusqu’ici, il n’a pas été démontré le risque de cancer et une exposition cutanée à l’aluminium.  Dans le cas du cancer du sein, la polémique est née de deux constats parallèles : Les déodorants sont appliqués à seulement à quelques centimètres des seins, l’incidence du cancer du sein est en augmentation dans les pays occidentaux, et touche des femmes de plus en plus jeunes. Après de multiples revirements, les dernières études démontrent que les sels d’aluminium appliqués sur la peau ne pénètrent pas dans l’organisme et que leur concentration dans les déodorants est trop faible pour déclencher une  tumeur maligne. Malgré ces conclusions, il est probable que le sujet continue de susciter les débats dans les prochaines années. D’ici là, les femmes ont une alternative, utiliser les déodorants sans sels d’aluminium. Ces gammes présentent l’avantage de limiter l’inflammation cutanée locale et laissent se dérouler naturellement le processus de transpiration.

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