L’affaire du meurtre d’Aziz Dabala et de Boubacar Gano, alias « Waly », assassinés dans leur appartement situé à Pikine Technopole, est loin de connaître son épilogue. Les Échos, dans sa parution de ce jeudi, informe que Nabou Lèye en prison de camp pénal, a déposé une demande de liberté provisoire ce lundi, par le biais de ses avocats, alors que la mise en cause n’a même pas encore été entendue sur le fond du dossier.
Le journal rapporte que, selon la danseuse et artiste comédienne, « il n’y a ni élément factuel qui l’incrimine, ni élément de preuve. » Ce qui fait dire à la défendre, dans sa requête déposée ce lundi, « que celle-ci a été citée à tort dans cette affaire. » Mieux encore, disent-ils, « aucun des mis en cause, inculpés dans ce dossier, ne l’a citée comme ayant participé d’une manière ou d’une autre à ces crimes ».
« Elle parle d’erreurs des enquêteurs sur la géolocalisation du téléphone ». « Ils ont confondu 12 heures et 00 heure », rapporte le journal.